Ferme-la.
On devrait tous avoir le droit de parler
Tous avoir le droit à la liberté de s’exprimer.
Mais des enfants sont frapper
Parce qu’il on ouvert leur clapet.
Pourquoi on a pas tous les mêmes droits ?
Pourquoi certains, plus malchanceux que moi ?
Je me sens mal, mal devant mon impuissance.
J’ai mal en regardant les autres et leur souffrance.
La mienne est petite, sans importance.
Des enfants de 5 ans en ont une plus immense.
Ils te regardent, un sourire faux aux lèvres,
Mais en faite, à ce moment-là, ils rêvent.
Ils rêvent de ta liberté de bouger et de parler.
Ils rêvent, car ils sont encore assommés
Par les coups que tous les jours
On leur a donnés pour avoir parler.
Liberté de parler, mais où es-tu passée ?
J’aimerais être muette, me taire.
Peut-être ais-je usé mon droit à la parole ?
Non, j’ai la liberté de parler, la liberté.
Les enfants parlent tout bas et pensent.
Ca, on ne peut le leur retirer :
La Liberté de penser.
Alors maintenant penser et agissez.Opposé un jour, opposé toujours…
Le chemin est long et dur
Tout le long, on te torture.
Tu peux en mourir, c’est arrivé à beaucoup,
Suffit que tu parle trop, c’est tout.
On enferme, on tue sans ménagement.
On dit sinon lorsque cela ne plaît
On dit sinon qu’on ment
Parce qu’on a dit la vérité.
On ouvre trop les yeux des gens
Les ennemis ferment les yeux des enfants
Ils les tabasses avant qu’ils marchent
Ils vont vers eux à quatre pattes.
Tu es un démon, moi un ange
C’est clair qu’on ne pourra faire le mélange.
On n peut nous confondre, opposé.
C’est le mensonge et la vérité.
Tu t’es regardé à faire le bien.
Bientôt, les êtres seront miens.
Et tu vivras dans l’enfer
Le paradis je n’ai plus rien à y faire.
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Enfant…
C’est dur de voir la douleur des enfants
Les yeux remplient de larmes lorsqu’il comprend.
Les enfants ne sont pas bêtes, il sont innocents
Chanceux de ne pas voir la douleur des gens.
De leurs petits doigts potelés,
Ils prennent la main des esseulés
Et leurs leur rendent leurs beauté
Car leur visage d’un sourire est éclairé.
Les enfants ne sont pas comme toutes ses personnes
Qui passent la journée à s’entêter et raisonnent.
Ils ne voient pas le temps passé monotones
Et ils sourient aux feuilles qui tombent à l’automne.
Que l’enfance est à déplorer
Ce temps où ne vous compreniez
Les larmes de ceux qu’on appelait parents
Les larmes de ceux qu’on voyaient grands.
En grandissant, l’enfance et la naïveté s’effacent
Et la déprime de l’adolescence prend place.
La chose inconnu du petit
Devient un soucis.
Enfin l’enfant comprend ce que c’était
Car ses sentiments sont vrais.
Les yeux aveugles enfants
Sont devenus ceux des parents.
Commentaires
Youz le 05-06-2006 à 09:16:45 #
Ce poème est tout simplement superbe, il est direct et sans détour. Ce cri n'est pas seulement à écouter, il faut agir comme tu le dit, ne pas laisser permettre cela.
Bravo et continue!