Beau rêve.
Je te regardais
Tu me souriais.
L’amour est d’une beauté éblouissante
C’est une recherche très puissante.
J’ai l’impression de l’avoir enfin trouvé
Maintenant, je peux m’évader
Lorsque je suis dans tes bras enlacés
Autour de moi que tu n’arrête de câliner.
Nous nous observons en souriant
N’est-elle pas belle la vie
Lorsque elle est ainsi ?
Tout est si charmant.
L’amour n’est pas éternelle comme l’amitié
Mais c’est si belle chose qu’on s’y laisse tomber.
Notre amitié a duré avant notre amour
Mais il était tant que se soit son tour.
Je t’aimais depuis toujours
Depuis le tout premier jour.
Lorsque je te voyais
Je n’en restais pas muet.
A présent, nous nous tenons
O ! Bonheur de l’amour
Tous nous t’attendons
Mais c’était mon tour.
Mais combien de temps va-t-il durer ?
J’ai alors peur de l’avenir
Je m’attend au pire.
C’est alors que mon réveil sonnait et que je m’éveillais.
La clinique
Le médecin parle à voix basse
Mais pourquoi maman ?
Et tout en parlant
Je t’entend le demander grâce.
Qu’est-ce ce qui se passe ?
Je commence à m’inquiéter.
Je ne vois pas les gens qui passent.
Mais ouvrez mes yeux, ouvrez !
Maman, où es-tu ?
Je t’appelle au secours.
Et là, le silence se fut.
Je suis ici mon amour.
C’est ta voix, maman.
Pourquoi ais-je la main mouillé ?
Tu pleures pourquoi maman ?
Est-ce tes larmes sur mes mains potelés ?
Je sens ta main qui serre la mienne.
Elle est froide ta main, la tienne.
Maman, pourquoi je suis allongé ?
Que s’est-il passé ?
J’ouvres alors la bouche et parla doucement
S’il te plaît, ouvres mes yeux maman.
Pourquoi pleures-tu encre plus ?
Ais-je fait quelque chose d’injuste ?
Alors, je l’entends, ta douce voix
Tu as du mal à parler
Je t’entends tu dis tout bas :
Ils sont ouvert tes yeux mon bébé.
Je ne veux plus continuer
Je veux tout arrêter
Je veux mourir
Ne plus souffrir.
Ne plus vous voir
Ne plus vous sentir
Ni vous vous, ni mentir
Ne plus manger et boire.
Si vivre, c’est souffrir
Je ne veux à jamais quitter cette terre
Enfin m’envoler et partir
Et ne plus vous voir en noir, mes êtres chers.
Je ne veux plus de cette vie
Pourquoi tout ce mépris ?
Et ce, envers vous.
Pourquoi vous rouer de coups ?
J’ai longtemps cherché vos bras
J’aurais aimé les trouver
Pour que vous me serriez
Mais vous ne le faîtes pas.
Voilà pourquoi je dois m’en aller
Mais il ne faut vous inquiéter.
Et puis… Pourquoi tout ça
Alors que vous ne le lirez même pas.
Angel
Commentaires
C'est tro tro beau tes textes..
jté piké celui avec laveugle.. pour limprimer !! c'est super beau...
C'est tout ske je voulais dire !
bonne continuation !