Mon chtit blog

Les rêves et les cauchemards, les créatures, la réalité et le virtuel...

posté le 20-10-2005 à 19:41:57

Rap&Sexy

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fio  le 20-10-2005 à 17:56:05  #

stiler stiler javou !!!!!!

 
 
posté le 20-10-2005 à 19:36:44

Souvenir de la nuit du 4 - Victor Hugo

Exilé à Jersey pour avoir voulu soulever le peuple de Paris lors du coup d'état du 2 décembre 1851, au cours duquel le président de la République Louis-Napoléon Bonaparte se proclamait empereur sous le nom de Napoléon III.

Victor Hugo (1802-1885) compose Les Châtiments, receuil satirique de 6000 vers où il exprime tout son mépris à l'égard de celui qu'il surnomme Napoléon-le-Petit. Dand "Souvenir de la nuit du 4", Hugo rend hommage à un enfant de sept ans et demi, nommé Boursier, tué dans la rue Tiquetonne, à Paris...


L'enfant avait reçu deux balles dans la tête.

Le logis était propre, humble, paisible, honnête ;

On voyait un rameau bénit sur un portrait.

Une vieille grand'mère était là qui pleurait.

Nous le déshabillons en silence. Sa bouche

Pâle, s'ouvrait ; la mort noyait son oeil farouche ;

Ses bras pendants semblaient demander des appuis.

Il avait dans sa poche une toupie en buis.

On pouvait mettre un doigts dans les torucs de ses palies.

Avez-vous vu saigner la mûre dans les haies?

Son crâne était ouvert comme un bois qui se fend.

L'aïeule regarda déshabiller l'enfant,

Disant:- Comme il est blanc approchez donc la lampe.

Dieu! ses pauvres cheveux sont collés sur sa tempe!

Ey quand ce fut fini; le prit sur ses genoux.

La nuit était lugubre ; on entendait des coups

De fusil dans la rue où l'on en tuait d'autres.

- Il faut ensevelir l'enfant, dirent les nôtres.

Et l'on prit un drap blanc dans l'armoire en noyer.

L'aïeule cependant l'approchait du foyer

Comme pour réchauffer ses membres déjà roides.

Hélas! ce que la mort touche de ses mains froides

Ne se réchauffe pas aux foyers d'ici-bas!

Elle pencha la tête et lui tira ses bas,

Et dans ses vieilles mains prit les pieds ducadavres.

- Est-ce que ce n'est pas une chose qui navre!

Cria-t-elle! monsieur, il n'avait pas huit ans!

Ses maîtres, il allait en classe, étaient contents.

Monseur, quand il fallait que je fisse une lettre

C'est lui qui l'écrivait. Est-ce qu'on va se mettre

A tuer les enfants maintenant? Ah! mon Dieu!

On est donc des brigands! Je vosu demande un peu,

Il jouait ce matin, là, devant la fenêtre!

Dire qu'ils m'ont tués ce pauvre petit être!

Il passait dans la rue, ils on tirés dessus.

Monsieur, il était bon et doux comme un Jésus.

Moi, je suis vieille, il est tout simple que je parte ;

Cela n'aurait rien fait à monsieur Bonaparte

De me tuer au lieu de tuer mon enfant!-

Elle s'interrompit, les sanglots l'étouffant,

Puis elle dit, et tous pleuraient prs de l'aïeule:

- Que vais-je devenir à présent toute seule?

Expliquez-moi cela, vous autres, aujourd'hui.

Hélas! Je n'avais plus de sa mère que lui.

Pourquoi l'a-t-on tué? Je veux qu'on me l'explique.

L'enfant n'a pas crié vive la Réplublique.



Nous nous taisions, debouts et graves, chapeau bas,

Tremblant devant ce deuil qu'on ne console pas.



Vous ne compreniez point, lère, la politique.

Monsieur Napoléon, c'est son nom authentique,

Est pauvre et même prince ; il aime les palais ;

Il lui convient des chevaux, des valets,

De l'argent pour son jeu, sa table, son alcôve,

Ses chasses ; par la même occasion, il sauve

La famille, l'église et la société ;

Il veut savoir Saint-Cloud, plein de roses l'été,

Où viendront l'adorer les préfets et les maires ;

C'est pour cela qu'il faut que les vieilles grand-mères,

De leurs pauvres doigts gris que fait trembler le temps,

Cousent le linceul des enfants de sept ans.



Je toruve la chute très bien faite et franchement, ça fait mal.

 


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posté le 20-10-2005 à 19:09:57

Amour... Amort?

photo Amour perdu et la mort trouvée.

 

Mais tuez-moi !

Tuez-moi ! (x3)

 

Je dois mourir

Car j’ai commis un crime

Le sang se repent sur le sol

Là là où personne ne s’en décolle.

 

Il est mort

Comdamné

Je l’ai tué

Alors tuez-moi !

 

Pour mon honneur

Face à ce que j’ai fait

S’il vous plaît,

N’attendez pas des heures.

 

Le temps de la chute est long

Mais lorsque je me suis rattrapée

J’ai enfin compris ce que j’avais fait.

Mon amour, je t’aimais…

 

Ne m’en veut pas d’avoir fait ceci

Je vais te rejoindre, bientôt…

Mais d’abord je dois accomplir ma vengeance

Lacéré celui qui t’a retié trop tôt.

 

Je marche dans son sang…

Il murmure car il ne peut plus parler.

Je n’ai plus aucune pitié

Pour ce tueur de gens…

 

Tueur d’amour qui n’éprouve que la haine.

Jamais je ne pourrais lui pardonner, même si

Je ne risque pas de le retrouver au paradis.

Lui, il ira pourrir en enfer, accroché avec des chaînes.

 

Peut-on aimer là-haut ?

Voilà ce que je me demande sur le bord

Le bout des pieds froids qui dépasse dans le vide

Je ferme les yeux et me laisse tomber de mon perchoir.

 

Mais pourquoi je ne vois plus la lumière ?

Je vois toi, au bout d’un chemin. Je cours

Mais je recule, tu t’éloigne de moi.

Tu me regarde avant d’étendre tes bras…

 

Je suis enchaînée dans une chaleur étouffante.

Celui que j’ai tué par vengeance

Est à côté de moi et me regarde avec véhémence.

Je pleure, je meure… Ou alors…

 

Je vois les ombres de l’enfers autour de moi

Elles m’envahissent doucement,

Mes jambes sont prises d’un fourmillement

Chose désagréable est une faible mot.

 

Je cris mais l’air me manque

Je ne veux pas rester ici.

Je cherche à respirer, de l’air !

Mais on respire que lorsqu’on est en vie.

 


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posté le 19-10-2005 à 20:20:59

Nouveau style...

photo Voilà ma session restylée. je crois que je vais la garder comme ça! XD
 


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posté le 19-10-2005 à 13:33:26

Ange ou démon?

photo photo photo Ange....

... ou....









photo photo

... Démon?
 


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